En raison du changement de climat et de mauvaises conditions économiques dans le pays, la plupart des femmes sri-lankaises travaillant dans les domaines sont obligées de se rendre au Moyen-Orient et de travailler dans des maisons, à partir des années 1990 et au début du deuxième millénaire, les travailleurs domestiques ont constitué environ 60% des travailleurs de Sri Lankan au Moyen-Orient, selon une recherche menée par l'immigration. Ikanaaki, qui a déclaré: «Lorsque les femmes font face à la pression financière des femmes ont abouti à l'immigration au Moyen-Orient, car elles considèrent qu'il est un moyen de percevoir de grandes économies dans un court laps de temps.
Souffrance des enfants
Les femmes font partie intégrante de l'économie agricole au Sri Lanka, où 31,3% des femmes sri-lankaises participent à la main-d'œuvre officielle, et en général, les femmes propres, les fermes, les graines végétales et les cultures de récolte, tandis que les hommes participent à la préparation des terres, à la mise en engrais et à d'autres tâches qui nécessitent l'utilisation de machines.
Les femmes travaillent également comme des fermes et des travailleurs loués parmi d'autres agriculteurs, et en 2021, environ 36% des effectifs du secteur agricole du pays, et de nombreuses familles sri lankaises sont touchées lorsque les mères migrent au travail au Moyen-Orient, car les enfants vivent dans différentes maisons, et les familles sont séparées les unes des autres.
Le pourcentage de travailleurs domestiques parmi les travailleurs sri-lankais au Moyen-Orient a diminué à environ 28% après que le gouvernement a appliqué les politiques à la fin de la première décennie du 21e siècle et au début de la deuxième décennie de l'informatique, pour contrôler la migration de l'emploi et pour limiter la migration des travailleurs domestiques.
But in 2022 this percentage rose again, as more than 124,000 Sri Lankan women migrated to work in jobs that require medium skills and low skills, most of them traveled to the Middle East, and they constituted about 37% of the total Sri Lankan immigrants to that region, and total financial transfers from the Middle East to Sri Lanka reached 1.94 billion dollars, or more than half of the total foreign transfers involved To the country in 2022.
Chômage
Le coordinateur du mouvement de réforme agricole et des terres nationales dans le nord du centre du Sri Lanka, Vimokthi de Silva, a déclaré que le changement climatique avait également un grand impact sur l'immigration, et selon la politique nationale de la Sri Lanka pour l'année 2023 Le secteur agricole du Sri Lanka, ainsi que de Silva, qui embauche environ 27% des Sri Lankais de plus de 15 ans.
In turn, the Executive Director of the "Silican Trust", Fossita and Wijnayaki, stated that agricultural workers are particularly exposed to the effects of climate change that "exacerbate" the existing gender inequality in Sri Lanka, and said: "Since many of these women do not have lands, they do not get credit or government support, and crop losses contribute to malnutrition, and therefore can be possible It leads to the Détérioration de la santé de la mère et de l'enfant.
"Les difficultés financières à la maison sont souvent aggravées par la violence basée sur les sexes dans les zones rurales du Sri Lanka", a poursuivi Wijnayaki, notant qu'à la lumière de ces risques, plus de femmes dans les familles agricoles veulent voyager à l'étranger. Sur la "politique étrangère"
Troubles familiaux
Ravenra Lamusia a rencontré beaucoup de ces problèmes, lorsque sa femme a voyagé à l'étranger pour la première fois, et que son fils aîné n'avait que deux ans à l'époque, et en 2022, elle a de nouveau quitté la mère en raison des problèmes financiers de la famille, et a immigré en Arabie saoudite, laissant derrière ses deux jeunes enfants, et dans les deux moments, la mère de Lamusia, Malika, a pris soin d'enfants, malgré les douleurs thoraciques continues.
"Je suis malade ces jours-ci, le médecin m'a demandé de rester à l'hôpital, mais je ne peux pas laisser les enfants derrière", a déclaré Malika. Cependant, l'immigration a fourni un soutien financier très nécessaire à des familles telles que la famille Lamusia.
La ferme migratoire a travaillé par intermittence Saman Badalathta en Arabie saoudite et au Koweït pendant environ 25 ans jusqu'en 2019. Elle a dit que sa famille avait construit une maison avec l'argent qu'elle a envoyé, et élargi également sa ferme, mais la sécheresse qui l'a frappée il y a environ 20 ans a détruit ses récoltes.
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