Vendredi, le président palestinien Mahmoud Abbas rencontrera son homologue syrien, Ahmed Al -Shara, lors d'une visite, le premier du genre après le renversement de Bashar Al -assad, selon un responsable palestinien confirmé à l'agence de presse française.
Lors de sa première visite officielle en Syrie, le président palestinien est accompagné du secrétaire du Comité exécutif de l'Organisation de libération de la Palestine, Hussein Al -Sheikh, et membre du comité exécutif Ahmed Majdalani.
Majdalani a déclaré à l'agence de presse française: "La réunion d'Abbas avec la charia discutera de la relation bilatérale conjointe entre les deux pays, ainsi que des menaces conjointes."
Abbas avait rencontré Al -Shara, le mois dernier, en marge du sommet arabe d'urgence tenu au Caire.
À cette époque, Abbas a exprimé sa grande fierté dans les relations fraternelles historiques établies qui réunissent les deux pays et les deux peuples, soulignant sa passion de les développer et de les faire avancer, selon l'agence de presse palestinienne officielle (WAFA).
Abbas faisait partie des dirigeants qui ont félicité la charia pour avoir assumé la présidence de la République syrienne pour le stade de transition.
Quant à Israël, qui occupe Ramallah, où le siège de la présidence palestinienne, ses fonctionnaires ont décrit la charia comme un groupe "djihadiste".
Au début de ce mois, le ministre israélien de la Défense, Yisrael Katz, a averti le président syrien qu'il ferait face à de graves conséquences si la sécurité d'Israël était menacée.
Depuis le renversement des factions d'opposition du président Bashar Al -assad fin 2024, l'armée israélienne a lancé des centaines de grèves en Syrie, annonçant le ciblage des installations militaires et des bases navales et aériennes dans le but de prévenir l'acquisition par la nouvelle administration de l'ancien arsenal de l'armée. Les forces israéliennes ont également pénétré dans la zone tampon dans les hauteurs de Golan.
En février (février), le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a exigé que le sud de la Syrie soit complètement des armes, avertissant que son gouvernement n'acceptera pas la présence des forces de sécurité des nouvelles autorités en Syrie près de ses frontières.
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