"Imagine", les paroles du prince Badr bin Abdul Mohsen, et composée par le musicien Siraj Omar, pas une chanson qui passe, mais une expérience émotionnelle intégrée. Un poème enveloppé dans le calme interne, les longues soirées et l'auto-révision silencieuse. Sa mélodie ne plaide pas avec l'excitation, ni ne impose sa présence à la puissance des machines, mais plutôt un délicat, comme quelqu'un qui teste l'effet du mot quand il est dit à voix basse. Ceci, en soi, est l'un des secrets de sa survie.
Quand Abdul Majeed Abdullah l'a chanté dans ses débuts, après son retour du Caire et de son travail avec Sami Ihsan, dans l'album "Sayed Al Ahly" 1984 après Ses autres œuvres, telles que "Sayyid Ahly", "Teach Me", "Wait For Me" et d'autres.
Cependant, le temps seul est suffisant pour réorganiser l'importance. La preuve est ce que nous assistons aujourd'hui, du retour de "l'imagination", de négocier beaucoup parmi une génération qui n'a pas vécu le moment de sa naissance. La chanson ne se limite plus à l'ancienne mémoire, mais plutôt transformée en une œuvre vivante, qui est découverte à nouveau avec une curiosité sincère, comme si les auditeurs le goûtent pour la première fois, loin de tous les médias ou des influences promotionnelles.
Cette forme de retour, loin de la mutation virale qui est parfois faite par les moyens de communication, reflète une valeur artistique qui n'est pas liée à l'occasion mais plutôt au contenu. L'imagination est donc présentée aujourd'hui comme si elle avait été faite pour cette génération, avec sa formulation psychologique et son langage discret et la performance d'Abdul Majeed, qui n'exagérait pas, mais plutôt rendu au singulier et lui a donné son espace pour exprimer.
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