Sur la dégénéité du front de mer à Beyrouth, à quatre heures de l'après-midi, dimanche, le premier juin et sous la lumière de la mer qui ne connaît pas le biais, un certain nombre de personnalités chiites de militants, d'intellectuels et d'universitaires sous le titre "de la rencontre du chiite libanais", mont pour discuter de la "place d'action, et de l'organisation de la coordination - et de l'organisation et de l'organisation et de l'organisation de la" coordination de la coordination - et de la darou "et de l'organisation et de l'organisation et de l'organisation de la" coordination de la coordination - Autant dans le daru "et à l'organisation et à l'organisation de la" COARDINATION AUTORIT La base "MAMS" pour la documentation et la recherche. La réunion n'était pas simplement une réunion technique, mais plutôt une nouvelle station sur une longue voie de tentatives de restauration de la voix d'une voix tentante dans la secte, et de refuser de dominer le nom du "dualisme".
Cette initiative exprime le pouls d'un groupe de personnages chiites qui ont sélectionné consciemment pour s'aligner sur l'État et ses institutions, et refuse de réduire la secte avec un projet politique ou de sécurité qui est destiné à être l'alternative à la patrie.
La réunion journalistique a été ouverte par Jad Al -akhwi avec un mot impressionnant, ajoutant au public, en disant:
«O Libertés du Sud, du Nabatiyeh, de la Bekaa, de la banlieue, de Beyrouth et du reste de la patrie, votre présence aujourd'hui n'est pas seulement un détail, mais c'est un acte de foi que le changement est possible, mais plutôt un devoir. Il est temps pour elle de dire sa parole.
Aujourd'hui, nous annonçons le lancement du "chiite libanais" et l'initiative "vers 2030" comme un chemin patriotique alternatif, à partir de la communauté chiite, non pas pour augmenter la division, mais pour corriger la boussole envers l'État, la justice et la participation. Nous ne revendiquons pas l'infaillibilité, mais nous avons la volonté et l'audace de dire: suffisamment de monopole de l'action, et suffisamment pour marginaliser les compétences. Il est temps que la voix réformiste libre et libre soit entendue, qui croit que l'État est une seule référence, et qu'il n'y a pas de légitimité pour une arme qui dépasse ses institutions.
Le frère a souligné que le Hezbollah est devenu une partie des conflits régionaux qui ne signifient pas le Liban avec quoi que ce soit, ce qui a conduit à l'approfondissement de la division politique, à la suppression du pays de son environnement arabe et international, et à la transformer en arène pour liquider des comptes au lieu d'être un pont entre les civilisations.
Le militant Mohamed Ali al -amin a souligné que la communauté chiite n'est exclusive à aucun duo ou parti politique. Il a dit d'une voix découlant d'une affiliation authentique: "Nous sommes les fils de la communauté chiite au Liban, mais surtout, nous sommes les habitants du pays. Nous avons un héritage culturel et littéraire qui est enraciné, et nous ne sommes attachés à aucun projet qui dépasse l'intérêt du Liban."
Il a ajouté: "Nous pensons que la force du Liban est basée sur l'État, et les armes exclusives entre ses mains, pas entre les mains d'un parti ou d'une organisation. Il n'y a pas de légitimité pour une arme en dehors du cadre des institutions, et nous n'avons aucune dignité sauf par l'État et sa souveraineté."
Au cours de la réunion, le document "Vers 2030" a été récité, qui était un résumé de deux ans de la discussion et du travail. Un document cherchant à briser le monopole de la représentation politique au sein de la communauté chiite et à raviver un chemin démocratique qui ramène la voix absente à sa place naturelle.
Le document rejette clairement les politiques de domination qui ont prévalu pendant des décennies, ce qui n'a apporté que la sectolation et la division. Il ne se présente pas comme une alternative au duo, mais plutôt comme un appel sincère à l'ouverture politique qui reflète la véritable diversité dans la secte.
Il s'agit d'une invitation à la création d'un État civil, moderne et équitable, géré sur la base de la citoyenneté et de la justice, et non de la dépendance et de la discrimination secrète. Il est ouvert à tous les Libanais qui croient que la patrie est la première et que la secte ne prospère pas, sauf dans l'ombre d'un État parrain qui protège tout le monde avec justice et égalité.
En conclusion, "Vers 2030" n'est peut-être pas la fin de la route, mais c'est certainement le début d'un nouveau chemin, cette fois est écrit du cœur de la secte, en son nom, et pour un pays digne de tous ses fils.
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