L'une des scènes des files d'attente qui commencent par les premières heures de l'aube, à ses images qui infiltrent les sacs des stars internationales, n'est plus "Labobo" juste un jeu, mais plutôt un phénomène, alors comment cette étrange poupée s'est-elle transformée en tendance mondiale?
Les poupées de Lapopo sont apparues pour la première fois sur le marché en 2019, mais en 2025, elle est revenue à nouveau.
Les dernières versions des poupées en Australie ont conduit à la formation de longues files d'attente dans les magasins "Bob Mart", le distributeur exclusif, où les fans se lèvent de leur sommeil à trois heures du matin pour être le premier à obtenir les nouveaux paiements.
Un porte-parole de "Bob Mart" a déclaré que l'obsession de ces poupées en tissu avait sans précédent envahi l'Australie.
Les poupées de Lapobo peuvent être moins chères que d'autres, car certains de leurs modèles peuvent être acquis en tant que chaînes clés pour un petit montant, mais les prix rares des modèles atteignent 300 $ australiens sur eBay, et peuvent atteindre 1580 $ pour certaines pièces sur le site de Bob Mart.
Mais les prix et les files d'attente ne sont pas la seule raison de ce grand intérêt médiatique. La renommée de Lapobo a explosé après avoir été vues avec des adultes, pas des enfants.
En termes de gravité visuelle, il est relatif, l'artiste Kasing Long, né à Hong Kong et résident des Pays-Bas, a été inspiré par la conception de mythes scandinaves, dans le cadre d'une série de livres pour enfants qu'il a lancés en 2015.
Les poupées se caractérisent par un style artistique qui combine l'enfance et la terreur, et en plus de cela, sa distribution est limitée, ce qui crée un état de rareté qui augmente sa demande.
Ces poupées sont souvent vendues dans des "boîtes aveugles", où l'acheteur ne connaît pas le modèle qu'il obtiendra, ce qui ajoute l'élément de curiosité.
Le journal Guardian a cité le chercheur universitaire américain dans la conception, Joseddi Junco Burke, disant que "de tels phénomènes ne se produisent pas dans le vide, mais reflètent plutôt les transformations sociales, technologiques et culturelles.
Responses (0 )