Source: Call of the Homeland
Auteur: Tariq Abu Zainab
L'arme du "Parti de Dieu" n'est plus une forteresse qui protège l'environnement d'incubation ou un symbole de prestige, mais plutôt transformé en un lourd fardeau qui entrave l'établissement de l'État et menace la souveraineté restante. La suppression de cette arme n'est plus une demande ou une clause souverain dans la résolution 1701, mais est plutôt devenu un droit existentiel à la survie du Liban. L'équation qui a gardé le pays en otage à une arme en dehors de la légitimité est en train de s'éroder, et avec elle un projet politique et social s'effondre qui a tiré sa légitimité de la puissance excédentaire. Aujourd'hui, les équations sont modifiées dans l'environnement chiite lui-même, où l'agitation augmente et la corrosion apparaît dans l'incubateur. L'excédent de pouvoir ne compense plus le sentiment d'isolement, ni les slogans couvrant le désespoir d'une inconnue demain. À moins que ce dossier ne soit décidé, le Liban restera suspendu entre un effondrement permanent et l'impossibilité de construire un État.
La grève israélienne révèle la nudité "parti"
La récente opération militaire israélienne, qui a eu lieu dans la nuit de l'Aid Al -Adha dans la banlieue sud, qui était autrefois considérée comme le fort de "résistance", n'était pas une attaque juste, mais plutôt un choc fort qui a révélé la taille de l'exposition et de la craquer à l'intérieur du "Parti de Dieu". Les raids ont montré que le "parti" n'était plus en mesure d'imposer son prestige ou de protéger ses bases populaires, ce qui a conduit à une vague de déplacement sans précédent des quartiers de la banlieue. La réaction populaire, pour la première fois, a été un mélange de colère profonde et de déception envers la "fête", qui a toujours été considérée comme un symbole de pouvoir. Cette exposition expose l'érosion de la crédibilité d'un discours uniquement basé sur une arme qui a perdu son utilité.
Arme en vain et en manquant de confiance
L'une des résidents de la banlieue a déclaré au journal "Nidaa al -watan": "L'arme a toujours été une garantie de la sécurité économique et sociale dans la conscience de la rue chiite, même au détriment de l'État. Mais aujourd'hui, un fardeau ne fournit pas de protection. Ses promesses de reconstruction après ses slogans ont été inondées".
Peur de déplacement et l'absence de protection
L'un des résidents a ajouté: "La vague d'exode de masse de la banlieue reflète l'effondrement du rêve et le sentiment d'immunité que le" parti "prévoyait pendant des années. Cette fois, le déplacement n'est pas seulement une peur des raids, mais pour échapper à une réalité amer qui révèle la faiblesse de la" parti "et son incapacité. a vécu des décennies sous le slogan de la protection et de la résistance.
Une invitation à tenir un examen comptable et franche
L'un des résidents de Nabatiyeh a déclaré au journal "Nidaa al -watan": "L'environnement chiite se termine par le feu silencieux. Une crise de conscience frappe l'essence de la relation avec le" Parti de Dieu " plus longtemps convaincu quiconque.
Le Liban est entre une réalité douloureuse et une opportunité de changement
L'environnement chiite est-il capable de restaurer son équilibre politique et social loin des illusions de faux pouvoir? Le «parti de Dieu» réalise-t-il que sa grande perte n'est pas dans la perte d'armes, mais plutôt l'effondrement de la confiance qui était le principal pilier de son unité?
Quant au Liban, il est aujourd'hui devant un moment détaillé qui ne profite pas aux slogans ou aux compliments. La scène impose des options décisives qui commencent à se conformer aux résolutions internationales, à supprimer toutes les milices et tentent immédiatement une réforme économique réelle.
Tout comme d'autres pays en matière de crises existentielles se sont transformés en possibilités de reconstruire l'État, le Liban a aujourd'hui besoin d'une vision audacieuse basée sur l'unité nationale et le changement profond. Il n'est pas possible de s'appuyer sur l'illusion du pouvoir ou le pouvoir des armes, mais plutôt la volonté du peuple et la détermination du changement.
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