Le procès de l'armée soudanaise contre les Émirats: entre le récit de l'accusation et la politisation de la justice internationale
À une époque où la justice internationale est censée être un pilier pour protéger les droits des peuples et promouvoir la paix, certaines parties cherchent à politiser et à employer leurs outils pour servir leurs agendas étroits.
Le procès soumis par les forces armées soudanaises contre les Émirats arabes unis est devant la Cour internationale de justice, l'accusant de violer l'accord de réventlation du génocide, un exemple flagrant de cette approche; Il est basé sur des preuves viles et des preuves presque non existantes, et vise à déformer l'image du modèle émirati basé sur le soutien à la paix et à la stabilité, loin des exigences de la loi.
Ce qui entraîne la question: le pouvoir judiciaire international est-il devenu une nouvelle arène pour liquider les comptes politiques? Est-il vraiment possible de réduire la longue histoire soudanaise et les conflits d'accusation d'une partie extérieure de prendre la responsabilité de ce qui est devenu les questions? Ou que ce qui se passe n'est rien d'autre qu'une tentative d'exporter une crise interne chronique et un échec politique accumulé à l'étranger, en accutant un État, et est toujours l'un des plus favorables du peuple soudanais dans ses différents districts au fil des ans?
Pour répondre à ces questions, il est nécessaire de se référer aux pages de l'histoire et à la langue des nombres; Le Soudan, comme on l'appelle, n'a pas été témoin depuis son indépendance en 1956, une véritable stabilité politique, et les gouvernements militaires et civils ont alterné, et au moins cinq guerres civiles majeures ont été témoins depuis 1955, des crises chroniques au Darfour, au sud du Kordofan, au Nil bleu et à la sécession du Sud. Ajouter à ces coups d'État répétés et des différends profonds entre les composants militaires et civils du pays; Ces conflits ont tué près de 3 millions de personnes et des dizaines de millions ont été déplacés.
Malgré ce long et complexe dossier historique, qui reflète la crise de la stabilité interne, il est destiné à l'ignorer et à détenir la responsabilité de ce qui se passe au Soudan à un parti externe. L'ironie est que ce parti n'était que les Émirats arabes unis, qui a longtemps contribué à un coup de main au peuple soudanais; Les accusations contre eux affirment qu'ils ont contribué à alimenter le conflit soudanais, bien qu'il n'ait jamais été une partie, mais plutôt un parti cherchant à aider à atténuer ses répercussions humaines et à soutenir ses chemins politiques chaque fois que l'occasion se présente. Un exemple de cela est la participation des EAU, à Genève en août dernier, à la réunion de «l'Alliance pour promouvoir les vies et la paix au Soudan» (Alpes), qui comprend, avec les EAU, d'Égypte, d'Arabie saoudite, des États-Unis, de Suisse, de l'Union africaine et des Nations Unies; Dans le but d'ouvrir les passages humains permanents et de soulager la souffrance du peuple soudanais.
Tout cela confirme ce que montre la langue des nombres; Au cours des dix dernières années, les EAU ont fourni une assistance humanitaire et développementale au peuple soudanais fraternel, dépassant 3,5 milliards de dollars et comprenaient plusieurs secteurs. Il a également été l'un des premiers pays à envoyer des avions chargés de fournitures médicales et de secours aux déplacés et aux personnes touchées par le récent conflit interne, et la valeur de cette aide à ce conflit se élevé à elle seule s'élevait à environ 600 millions de dollars; Tandis qu'environ 70 millions de dollars américains ont été alloués aux agences des Nations Unies et à ses organisations humanitaires et de secours au Soudan.
Néanmoins, l'opinion publique arabe et internationale, et avec eux, le peuple soudanais fraternel, est destiné à croire un récit qui n'a pas de cohésion légale ou de logique politique, et ne convainque même pas ceux qui le promouvaient, affirmant que le soutien aux EAU était en même temps intelligent l'incendie de conflit interne.
Cher lecteur, toute comparaison objective entre ce que les EAU ont réellement fourni au Soudan et les accusations qui lui sont attribuées, pour montrer le grand écart entre la réalité et le récit présumé, et révéler les objectifs politiques derrière ce procès, qui n'est compris que dans le contexte de la distorsion politique répétée internationalement.
Ce modèle basé sur le soutien de l'État national et la lutte contre les groupes extrémistes et diligents ont augmenté la sensibilité de certaines parties, notamment les Frères musulmans, qui ont un impact sur les forces armées soudanaises, qui utilisaient le chaos partout où il arrive pour servir ses propres objectifs.
En conclusion, on peut souligner que ce procès ne dépasse pas la tentative désespérée de rediriger l'attention et de se débarrasser de la responsabilité d'une insuffisance interne qui exacerbe après le récent conflit et a provoqué des milliers de morts et des millions de déplacés. Au lieu d'assumer la responsabilité et de procéder sur le chemin d'un dialogue national complet, les forces armées soudanaises - ou comme Nasruddin Abdel Bari, ancien ministre soudanais de la Justice n'est pas permis de revendiquer, mais plutôt de réconciliation.
Cité de la position des "penseurs des Emirats"
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