Les transformations récentes que la région a vues, en particulier liées à la faiblesse de l'emprise de groupes sombres tels que le Hamas, le Hezbollah, et les milices en Irak, en Syrie et au Yémen, révèlent que nous sommes confrontés à la fin d'un stade sombre de la falsification, et du début d'un nouveau chapitre intitulé le réalisme et la construction. Ces entités qui ont soulevé les slogans de la résistance, mais pratiquaient toutes les formes de destruction interne, n'ont laissé que la ruine et la destruction, et ont provoqué d'innombrables catastrophes humaines et économiques.
Dans cette scène, la Vision saoudienne, dirigée par le prince Mohammed bin Salman, est mise en évidence comme un autre projet de la Renaissance. Une vision place le développement au cœur des politiques et fournit un modèle pratique pour la réforme loin des slogans vides. De la NEOM aux projets d'énergie renouvelable, et des jeunes pour le renforcement de l'économie, l'Arabie saoudite a prouvé qu'elle n'est pas satisfaite des mots, mais fonctionne plutôt et fait la différence.
La question que le reste de la région devrait se poser est: que voulons-nous être? Les prisonniers des slogans passés sont-ils prouvés? Ou rejoignons-nous le développement du développement et faisons-nous un avenir que nos peuples méritent? La réponse est claire. L'Arabie saoudite ne présente aujourd'hui pas son projet uniquement comme une option interne, mais comme un appel régional à l'adoption d'une approche rationnelle, moderne et humanitaire, qui est biaisée vers la vie.
L'effondrement des axes du mal n'est pas une fin en soi, mais plutôt le début. Commencer pour un nouveau Moyen-Orient, non régi par les milices, et ne gère pas le chaos, mais est plutôt fait par la raison, la planification et le développement. La clé de ce changement est que les pays de la région vont sur les traces de la vision saoudienne et pour faire du développement une option fatale irréversible.
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