Le centre de recherche agricole égyptien du ministère de l'Agriculture a annoncé le développement d'un nouvel ensemble de variétés de riz hautement productives, capables d'augmenter la récolte de 10% par rapport aux tarifs traditionnels, en plus de réduire la consommation d'eau jusqu'à 30%, dans une étape qui améliore la sécurité alimentaire et soutient la stratégie de l'État pour rationaliser l'utilisation des ressources en eau.

Cette évolution se présente dans le contexte de la recherche qui a duré des années au Centre de recherche agricole, qui a abouti à des éléments locaux tels que "Giza 183" et "Super 300", ainsi qu'une série d'hybrides hybrides égyptiens tels que "Hybin 1" et "Bassati 11 Hybrids", qui sont tous conçus pour résister à la déshydratation et à la salinité du sol élevé tout en conservant la qualité des pilules.
Selon les résultats des expériences sur le terrain, ces éléments ont réussi à augmenter la production moyenne d'ACRE de 3,8 tonnes dans des variétés traditionnelles à 4,2 et 4,5 tonnes, ce qui se traduit par une augmentation totale de la production locale de riz allant jusqu'à 6,5 millions de tonnes au cours de la saison de 2024-2025, contre 6 millions de tonnes au cours des saisons précédentes.
Sects améliorés ... et irriguer tous les 8 joursLes nouvelles variétés se caractérisent par une période de croissance plus courte allant entre 120 et 130 jours, et elles sont racontées sur des périodes plus longues allant jusqu'à 8 ou 10 jours entre chacune des irrigations, au lieu de tous les 3 à 4 jours, comme c'était le cas dans les anciens éléments, ce qui contribue à fournir au moins 2000 mètres cubes d'eau par acre.

Le ministère a également affirmé la fourniture de semences accréditées pour les agriculteurs par le biais de sociétés agricoles, au milieu de suivi technique des instituts de recherche pour assurer l'engagement envers les méthodes agricoles modernes et réaliser le maximum de bénéfices des capacités génétiques des nouvelles variétés.
Un plan pour se développer .. et auto-tension dans l'exportationL'État vise à étendre la culture de ces éléments au détriment des espèces traditionnelles, dans le cadre d'un plan visant à augmenter la production annuelle, en particulier à la lumière de la stabilité de la demande locale, ce qui permet de diriger le surplus vers l'exportation.

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Le riz est l'une des cultures dans lesquelles l'Égypte a atteint l'autosuffisance au cours de la dernière année, et le secteur agricole devrait continuer à étendre l'utilisation des techniques génétiques modernes pour améliorer les races de céréales et réduire l'écart alimentaire, parallèlement aux plans de l'État pour rationaliser la consommation d'eau en agriculture.
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