Plusieurs régions marocaines, notamment Casablanca-Settat, Marrakech-Safi et Béni Mellal-Khénifra, sont actuellement l'objet de vérifications approfondies par les cours régionaux (CCR), à la suite de rapports inquiétants sur une utilisation abusive de fonds publics grâce à l'organisation répétée des festivals et des événements culturels.
Les sources éclairées révèlent que ces événements, souvent dépourvus d'un impact local réel, serviraient de prétexte aux dépenses budgétaires excessives, dans les communautés, cependant, d'un retard de pleurs en termes de développement.
Derrière cette prolifération des festivals, il est caché, selon ces mêmes sources, un système de détournement bien établi déguisé sous l'étiquette du "projet de proximité", selon ces mêmes sources.
Les enquêtes actuelles sont liées en particulier aux ordonnances des marchés publics et des commandes liés aux projets culturels, sportifs ou artistiques, dominés par un cercle limité de fournisseurs liés aux élus locaux et aux fonctionnaires administratifs, en particulier à Casablanca. Les soupçons de conflits d'intérêts, de favoritisme et de collusion sont au cœur des missions de contrôle actuellement déployées.
Certaines sociétés à responsabilité limitée, souvent administrées par des proches de dirigeants financiers ou de directeurs de services municipaux, sont accusés de manœuvres douteuses pour saisir des contrats publics liés aux festivals saisonniers. Par conséquent, ces occasions deviennent des canaux de prédilection pour accumuler des avantages industriels dans une logique de location institutionnalisée.
Dans le même temps, des rapports d'inspection émanant de l'inspection générale du rapport sur l'administration territoriale des dysfonctionnements importants dans la gestion et le suivi de ces projets.
Des dépôts ont été observés entre les objectifs montrés et les résultats réels, avec une absence presque totale d'impact sur les priorités sociales des citoyens.
Les entreprises de communication sont également indiquées par leur participation à ce système opaque. Plusieurs d'entre eux obtiennent régulièrement des marchés juteux selon les processus qui ne sont pas considérés comme très transparents, fournissant ainsi la sensation d'un marché bloqué en faveur de réseaux bien identifiés.
En outre, les services centraux du ministère de l'Intérieur ont été alertés par les ascenseurs des niveaux provinciaux au niveau provincial. Les soupçons de l'exploitation politique de certaines manifestations ont été clairement mentionnés, tels que Fantasia Moussem, à des fins de propagande électorale prématurée.
Enfin, bien que Casablanca accueille plus de 140 événements d'animation qui sont appelés chaque année, les effets spécifiques sur le terrain restent presque non existants. Cette observation nourrit des doutes sur l'utilisation réelle des budgets attribués, lorsque les besoins cruciaux dans d'autres secteurs ne restent désespérément pas couverts.
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