Construite pour le roi d'Arabie saoudite et le prince héritier, Mohammed bin Salman, ces deux palais ont dû aider à renforcer la présence saoudienne dans la ville de Tanger, l'une des destinations touristiques emblématiques du Maroc. Malheureusement, ce projet affecte le tissu économique local, ainsi que les relations cordiales bilatérales entre les deux pays.
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Et pour une bonne raison. La maison royale saoudienne doit toujours des millions d'euros dans des sociétés marocaines non rémunérées qui ont effectué ce travail. Un retard dans le paiement qui, selon les médias espagnols, Cope, a créé un "inconfort" dans le secteur de la construction à Tanger. Les entreprises locales ont participé à ce projet, qui devait sauver leurs fonds, trouver de graves difficultés financières.
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En tant que pays arabes, le Maroc et l'Arabie saoudite partagent des liens culturels et religieux qui ont facilité la mise en œuvre de ce projet. Mais ce retard dans le paiement des sociétés exécutives marocaines remet en question la solvabilité des autorités saoudiennes dans le contexte de leurs engagements internationaux. Pour le moment, les entreprises marocaines ne savent pas quand et comment elles sont payées.
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