La peur augmente au Liban, ce qui est épuisé en raison de ses crises, d'être entraîné dans une guerre qui ne lui est pas nécessaire.
"Nous ne dormons plus avec rassurance. Chaque jour, on parle d'une réponse et d'une réponse à la réponse. Personne ne nous explique ce qui se passe ou si nous allons à nouveau en guerre."
La peur ne se limite pas uniquement à l'escalade militaire, mais s'étend également aux conditions économiques et de vie, où le pays vit ses pires crises depuis des décennies, et elle augmente l'absence de tout discours officiel assuré et l'absence d'une vision politique unifiée de la façon de gérer les développements régionaux.
Hezbollah
Dans ce contexte, l'analyste politique Bishara Khairallah dit, dans une interview exclusive avec "Sky News Arabie": "Oui, les Libanais ont peur, mais lors de la lecture des données, il est clair pour tout le monde que le Hezbollah n'a pas l'intention ou la possibilité d'aller vers une aventure majeure dans l'intérieur du Libanais, le parti n'a pas fait partie de ce qui peut être considéré comme une sorte de réaffirmation, par affirmation de l'affirmation qui ne se présente pas directement."
Khairallah ajoute qu'il existe trois indicateurs principaux indiquant un rejet généralisé de tout dessin vers l'escalade, d'abord, un rejet public clair, deuxièmement, un rejet de diverses forces politiques, y compris les alliés du parti, troisièmement, un avertissement sévère émis par le Premier ministre et le gouvernement combiné, ainsi que du président de la République.
Il croit que l'armée libanaise ne tolérera pas si le parti est en pleine étape, notant que "l'armée est celle qui est chargée de la sécurité nationale, et ce qui nous rassure aujourd'hui n'est pas seulement l'absence d'intention, mais aussi l'absence de la capacité réelle du parti à combattre ce genre".
Khairallah conclut en disant: "Notre premier objectif principal était et neutralisait toujours le Liban des conflits des axes. Si nous avions pris notre opinion depuis 2012, nous n'aurions pas atteint ce que nous sommes aujourd'hui."
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