La semaine dernière, les médias marocains, le bureau a expliqué qu'une attaque de "grande échelle" s'était adressée au ministère de l'Emploi ", mais aussi et, surtout, le National Social Security Fund (CNSS)."
Mardi 8 avril, par le biais d'une chaîne télégramme appelée Jabarot DZ, des pirates qui prétendent être disséminés des données d'Algérie del CNSS. Ces informations se réfèrent aux employés de nombreuses entreprises et entités du pays, comme le Fonds Mohammed VI pour l'investissement, le crédit du Maroc, la Centrale Populaire Bank. Mais ils affectent également les sociétés de presse, ainsi que pour Siger, la société de portefeuille personnelle de King.
Enfin, Telegram a éliminé la chaîne, comme le réseau social a confirmé le monde, "dès qu'il a été découvert" par ses modérateurs.
Le montant du secrétaire privé du roi dans la natureMais, en attendant, "les listes publiées permettent (...) d'élever le voile dans le salaire déclaré de plusieurs personnalités, même, par exemple, le secrétaire privé du roi, Mohammed Mounir El Majidi", détaille le bureau. Près de 500 000 entreprises sont touchées, explique les médias marocains, tels que. Les médias ajoutent que les pirates algériens auraient réagi au piratage des marocains du récit X de l'agence de presse algérienne APS.
Le CNSS a bien reconnu le 9 avril que son système informatique faisait l'objet d'une série d'attaques, explique le bureau. Mais elle a dit que le caractère de certains documents filtrés sur les réseaux sociaux était "souvent faux, inexact ou tronqué". La caisse enregistreuse aurait activé: "Dès que les mesures correctives des données sont filtrées (...) qui ont permis de contenir l'itinéraire utilisé et de renforcer l'infrastructure."
La caisse enregistreuse a annoncé ce week-end pour suspendre certains de ses services et demande à ses membres de suivre certaines recommandations, telles que la modification de leur mot de passe et la prudence avec les messages et les suspects So-appels qui prétendent provenir du CNSS.
Un torrent qui secoue la société marocaineMais tel qui souligne: "Ce n'est plus une fuite, c'est un torrent." Le monde explique que cette question est une opportunité pour certains de souligner un pays "inégal", tandis que d'autres soupçonnent que les entreprises ne sont pas déclarées. Les médias français expliquent que ce n'est pas seulement la révélation des salaires de certains qui provoque des tremblements. Par exemple, cette évasion révèle la liste des personnes utilisées par le bureau de lien israélien à Rabat. Ils ont subi des menaces après cette révélation.
Selon une enquête de bureau publiée le vendredi 11 avril, l'infrastructure de cybersécurité du CNSS est "le produit d'un véritable mille-feuille de missions effectuée par plusieurs fournisseurs". Et le journal marocain indique les responsabilités du chef du secteur, Dataprotec. La responsabilité de la Direction générale des systèmes d'information (DG) du pays est également impliquée. Selon les informations du monde, il avait classé le CNSS parmi les infrastructures d'intérêt vital.
En 2020, le journal Yabiladi a alerté le CNSS sur un "défaut de sécurité inquiétant". Il avait déjà découvert que les données personnelles de l'assuré étaient accessibles. À cette époque, la boîte avait assuré qu'elle avait été identifiée et corrigée.
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