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Que recherche Trump au Moyen-Orient? | politique

Chercheur et professeur de relations internationales d’Irak 5/30/2025- | Dernière mise à jour: 11:18 (heure de la Mecque) Dans les angles froids des cartes de l’influence, où les lignes de géographie chevauchent les modèles d’hégémonie, et les principes sont identifiés avec les intérêts, car les ombres du coucher du soleil sont identifiées, la présence de […]

Que recherche Trump au Moyen-Orient? | politique

5/30/2025- | Dernière mise à jour: 11:18 (heure de la Mecque)

Dans les angles froids des cartes de l'influence, où les lignes de géographie chevauchent les modèles d'hégémonie, et les principes sont identifiés avec les intérêts, car les ombres du coucher du soleil sont identifiées, la présence de Donald Trump dans la scène de la politique étrangère n'était qu'une forte temporisation de l'ombre longue du captif des traditions protocoles et des formulations des institutions.

L'homme n'est pas venu comme une voix réformée qui essaie de reproduire le monde, mais plutôt comme un détenteur d'un accord qu'il veut mesurer la taille des gains, et non la profondeur des transformations, et que la logique du changement est sujette aux règles du marché, et non à la perspective des valeurs ou des théories de la transition démocratique.

Dans ce contexte, le principe Trump au Moyen-Orient n'était pas un principe dans le sens où nous avions l'habitude de faire avec Truman, Carter ou Bush, mais plutôt une condition philosophique, contrairement à tout ce qui était précédemment appelé l'engagement moral envers la diplomatie américaine.

Trump a établi une approche basée sur l'exportation de modèles politiques, ni sur le changement, mais plutôt pour redéfinir la légitimité par son avantage, et non par sa légitimité, et pour neutraliser la démocratie comme facteur coûteux, pas un investissement stratégique garanti.

Dans un monde que Bradigham prévaut dans l'accord, Trump a décidé de distribuer la politique de son pays de la logique de la tutelle de la modernisation et de remplacer un discours (qui jugera) par un discours par la façon dont il pourrait être jugé sans perturber les intérêts.

Ici, sa philosophie est évidente comme un rejet explicite de la participation dans des projets transformateurs ouverts, et un choix conscient de l'emploi, avec un pragmatisme prudent qui ne prend pas l'idéologie du changement, autant qu'il cherche une compréhension stratégique.

Peut-être que cette logique a atteint son point culminant lors de sa récente visite au Moyen-Orient en mai 2025, lorsque ses tournées entre Riyad, Abu Dhabi et Doha semblaient un moment détaillé dans la reproduction du langage politique américain, et non comme un attrait pour un projet de stabilité missionnaire, mais plutôt comme une évolution vers le réalisme structurel qui mesure les relations avec la norme de stabilité et de consensus.

À Riyad, il a clairement déclaré que ce que l'on appelait le projet démocratique à Bagdad et Kaboul n'était qu'une aventure perdue qui épuisait l'effort et les ressources sans produire de modèles viables ou de répétition.

D'un autre côté, il a présenté une vision alternative basée sur la compréhension avec les systèmes existants selon une formule équilibrée qui préserve les intérêts mutuels et exempte les deux parties du coût de la dictée ou des valeurs.

Avec la même logique, il a exprimé une appréciation claire de ce qu'il a appelé (l'efficacité des dirigeants stables) qui a réussi à fournir un environnement de développement, des partenariats stratégiques et des contextes de sécurité cohérents, sans être impliqués dans la controverse de l'expérimentation politique ou l'aventure de modèles importés.

Ainsi, sa présence régionale a été caractérisée par une tendance croissante à convertir les relations en structures contractuelles, basées sur des accords majeurs, des accords d'armement aux partenariats numériques, sous une forme qui reflète une philosophie qui voit dans l'état partenaire un parti rationnel, et non un sujet des politiques de réaction ou d'imposition externe.

La philosophie de Trump au Moyen-Orient n'est pas seulement des orientations circonstancielles, mais plutôt une vision intégrée qui suggère une stabilité consensuelle et reporter des questions de transformation politique jusqu'à ce qu'elles soient inutiles. C'est une approche qui n'est pas basée sur les valeurs libérales traditionnelles, mais plutôt sur les nécessités de l'équilibre régional et la gestion de l'influence dans l'ingénierie des intérêts flexibles.

Comme cette approche apparaît dans son collège, il est clair que le principe Trump n'était pas un document écrit, mais plutôt un discours garanti qui a été formulé par les faits plus que la littérature, et ses conséquences sont plus que ce qu'il a développé.

Ce n'est pas une invitation à stagner, mais plutôt un report systématique d'une transformation qui maintient le système d'intérêt dans un état de liquidité organisé, sans sauter dans les aventures de l'inhalation ou de la réenchevre des sociétés.

Bien que cette logique soit enracinée à l'arrière-plan des relations internationales actuelles, la présence américaine devient conditionnelle, non pas par la poursuite, mais par la compréhension ou par la domination, mais par la capacité de s'adapter aux données de la réalité telle qu'elle est, non pas comme elle est censée l'être.

Le principe de Trump au Moyen-Orient, en fin de compte, ne représente pas un coup d'État contre la politique américaine car il incarne ses pics pragmatiques, lorsque les valeurs sont réduites aux équations de retour, et lorsque les fichiers de la région sont gérés comme les transactions du marché sont gérées, avec un mélange de comptes et d'intuition, et avec une tendance qui est observée dans la stabilité bénéficiaire est meilleur que le changement accordé.

Il n'est pas établi pour une étape de transition, mais plutôt un nouveau temps politique, dans lequel les règles anciennes sont suspendues, et la certitude précédente est une revue, en attendant une scène internationale qui n'est pas régie par les principes, mais plutôt l'équilibre de la capacité de rester à l'intersection des intérêts.

Les opinions de l'article ne reflètent pas nécessairement la position éditoriale d'Al-Jazeera.

Y
WRITTEN BY

Yara Maazoul

En tant que Responsable Moyen-Orient, Yara Maazoul apporte son expertise pointue sur les enjeux politiques, sociaux et économiques de la région. Elle coordonne la couverture du Mashreq et de la péninsule arabique pour L'oriental.

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