Donald Trump a continué à consolider les équations américaines le long de la région arabe et du Golfe Mashreq, consacrant l'alliance étroite avec l'Arabie saoudite d'une part, et accordé à la nouvelle autorité syrienne dirigée par Ahmed Al -Sharaa une forte dose de soutien, d'autre part. Le président américain de Riyad a dépassé tous les incidents de massacres et de violations des droits de l'homme, pour annoncer la levée des sanctions contre la Syrie, tandis que de nombreuses informations sur un "package" des exigences américaines que Damas se sont engagées à mettre en œuvre, et dont le premier plan est de rejoindre la voie de la normalisation et de la paix avec Israel.
Cette réalité signifie le Liban dans ses répercussions à plus d'un niveau. Au niveau des négociations avec Israël, plus d'une question est soulevée sur l'approche du Liban sur ce défi et comment faire face à la pression américaine dans ce contexte.
Cependant, les répercussions comprennent le problème le plus dangereux au Liban, qui est de soulever l'épée du déplacement syrien sur le cou de la présence libanaise -kayyienne. En effet, la levée des sanctions doit pousser le ralentissement et le lourd gouvernement dans le dossier de déplacement, pour se déplacer immédiatement, après toutes les excuses de sécurité, politiques et économiques, que les conspirateurs se disputent avec la tentative de "perpétuer" le déplacement syrien sur le sol libanais.
Et le sommet saoudien Trump, qui a exercé une pression sur le Liban. Il a considéré que "il y a une opportunité au Liban de se débarrasser du pouvoir du Hezbollah", soulignant que "l'opportunité du Liban arrive une fois dans la vie pour être prospère et en paix avec ses voisins". Après avoir rencontré Riyad, Trump, le prince héritier Mohammed bin Salman, est allé à Doha, où il aura des entretiens avec des responsables qatariens.
À cette époque, Israël suivait ses attaques contre le Liban, ciblant une voiture sur la route de Qaqa'a al -Jisr - Wadi al -hajir. Au niveau officiel, le Conseil des ministres, dirigé par le président de la République, a discuté du général Joseph Aoun, un groupe d'articles, en particulier ceux liés aux nominations.
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