Une étude scientifique récente a révélé la plus ancienne utilisation utile de la plante "Al -Harmal", datant de l'âge du fer il y a environ 2700 ans, car elle a été documentée à travers des outils archéologiques trouvés dans la colonie de l'oasis "coranique" dans la région de Tabuk (nord-ouest de l'Arabie saoudite). Cette étude, publiée par le magazine mondial "Communication Bilogi", est venue en coopération entre la Saudi Heritage Authority, le German Max Planck Institute for Evolutionary Human Science et l'Université autrichienne de Vienne, dans le cadre des efforts de recherche conjoints visant à explorer les aspects thérapeutiques et sociaux des anciennes pratiques dans les péninsules arabes.
Les chercheurs se sont appuyés sur des analyses chimiques précises des résidus organiques qui se trouvent rarement dans les dossiers archéologiques, où ils les ont trouvés réservés à l'intérieur d'un encens de poterie, qui a été effectué une analyse avancée utilisant une technologie de chromatographie liquide à haute performance - Spectrum légendaire parallèle (LC -M / MS).
La technologie a permis la détection de la présence d'alcaloïdes de la plante "gaspillée" à l'intérieur de ces outils, qui est un guide de matériau direct qui a permis de déterminer le type de plantes que les gens ont utilisé, les lieux, comment les utiliser et les motifs pour leur utilisation à des fins thérapeutiques.
Des résidus organiques ont été trouvés réservés dans un encens de poterie (Saudi Heritage Authority)
La plante "gaspillée" dans la culture locale est connue pour ses caractéristiques anti-bactériennes et ses effets thérapeutiques, ce qui améliore la valeur de cette découverte dans la liaison des anciennes pratiques à la vie culturelle contemporaine.
La Commission a expliqué que cette découverte confirme la profondeur des racines historiques de ces traditions dans la péninsule arabique et est une continuation de son soutien aux initiatives pionnières qui contribuent à la lecture de l'histoire de la région dans une perspective scientifique moderne.
Cette étude est l'un des fruits de la coopération internationale à la recherche que l'autorité mène dans le cadre de ses efforts pour mettre en évidence la dimension scientifique et de connaissance des découvertes archéologiques en Arabie saoudite, et pour améliorer sa présence dans divers domaines de la recherche internationale liée à l'histoire et à la culture humaines.
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